J'ai marché jusqu'à l'orage, prit la
foudre, éviter le drame.
Prés du mur tout est gris, tout est
triste, je voudrais cracher sur leur figures.
Quand le vague à l'âme dépasse les
frontières, quand l'espoir flingue le soleil.
Encore des kilomètres à la pelle, tu
fuis et puis t'avance.
Encore de chutes libres, tu voles et tu
bascules.
Toujours des vagues à l'âme.
En solitaire sur la mer morte, tu
vogues et tu divagues.
Noyer l'espoir et la croyance, tu vois
plus rien.
Et c'est toute une éternité qui
s’éteint.
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